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Lancement de la compétition GENIARC 2019 : Rendez-vous au sommet !

Trois communes, huit écoles, quatre-vingt génies, huit professeurs encadreurs, une équipe d’organisation sélecte, trois locaux mobilisés, la compétition de génie-interscolaire GENIARC de cette année, inaugurée sous le thème « Rendez-vous au sommet », annonce des couleurs épiques.


Trois communes, huit écoles, quatre-vingt génies, huit professeurs encadreurs, une équipe d’organisation sélecte, trois locaux mobilisés, la compétition de génie-interscolaire GENIARC de cette année, inaugurée sous le thème « Rendez-vous au sommet », annonce des couleurs épiques. Ce sublime concours, de beauté de l’esprit, vise à inciter et à aiguiser chez les élèves le sens de la curiosité intellectuelle, de recherche scientifique et de saine compétition.

À l’instar des pratiques et des stratégies gagnantes mises en œuvre par les nations modernes qui ont cerné, à bon escient, la forte corrélation positive entre le succès individuel et collectif avec le niveau d’apprentissage et de compétitivité insufflé dans un système, la fondation ARC (Animation-Recherche-Culture) emboîte le pas pour proposer aux enfants, aux élèves, aux étudiants et aux professionnels du pays, des projets et des tribunes mythiques en vue d’exposer et peaufiner leurs talents artistiques, intellectuels et culturels. Outre la couverture de certains évènements universels ou de faits marquants de l’histoire singulière de notre nation, des concours de textes, des compétitions sportives, des rencontres récréatives et ludiques, des conférences-débats, des projections et des compétitions de génie interscolaires garnissent les offres culturelles, économiques et sociales conçues par cette fondation composée d’une panoplie de professeurs, d’universitaires et de cadres pluridisciplinaires chevronnés et compétents.

Du 14 mars au 24 mai, la fondation ARC et la Télé Prosch gâtent, bichonnent et émerveillent les beaux yeux et les beaux esprits avec cette compétition phare de questions et réponses sur diverses thématiques au zénith de la culture de l’excellence. Cette troisième édition met en lice huit institutions dont deux écoles de Carrefour (le Lycée de Diquini, champion de la deuxième édition et le Collège Edmond Laforest) ; deux écoles de Gressier (le Centre Don Bosco Riobe et le Collège de Christianville) ; quatre écoles de Léogâne (l’Institution Mixte Paradis, l’Institution Chrétienne de Macombre (ICM), le Lycée Anacaona et le Collège Saint Jean). En plus d’un auditoire sur place motivé, captivé et fasciné par les belles confrontations intellectuelles, les calculs mentaux, les savoirs culturels et scientifiques, les belles lettres, la décortication du squelette humain, des os et des tissus, des dizaines de milliers de téléspectateurs vont déguster devant leurs petits écrans les tensions, les émotions, les réflexions, les harmonies, les ententes, les mésententes, les hostilités, les chocs et les conflits à apprivoiser par les méninges des étoiles exposées au Belval Plaza de Léogâne, au Number One de Gressier et à l’Auditorium du Centre Sportif de Carrefour. Des produits dérivés délicieux et succulents vont être greffés sur ce projet principal. La fondation ARC dressera chaque semaine, sous l’élégante plume de Nathalie Verné, le portrait d’un champion, d’un génie, soit celui qui se démarquera dans les rencontres hebdomadaires par le nombre de points qu’il aura marqués. Les feux des projecteurs seront également allumés sur des professeurs encadreurs, des directeurs et directrices d’écoles ainsi que sur les institutions participantes pour les mettre en valeur.

Un projet délicieux, sur fonds d’émotions et de joies immenses, mais avec une énorme contrainte

Le décor est planté, les écoles sont motivées, les élèves, concurrents et fans, les professeurs et les responsables des institutions sont impatients de fournir cette réponse vibrante, résonnante et lumineuse aux programmes dévergondés et ténébreux Ti-Rat et Ti-Sourit qui accélèrent l’effritement des valeurs et des bonnes mœurs dans la société. Beaucoup d’audace et de courage, mais dans un optimisme réaliste et pragmatique, caractérise les organisateurs de cette noble compétition dispendieuse, coordonnée par le spécialiste en éducation Roody Rosilus. Les membres de la fondation ARC convoitent de signer dans les prochaines semaines des partenariats clairvoyants et durables avec des institutions œuvrant dans le social, le développement et l’épanouissement de la jeunesse. La fondation ARC continue de garder « ses doigts croisés » quant au vœu de compter de nombreuses institutions partenaires dans ce noble projet qui vise à proposer des alternatives saines, enrichissantes et jouissives à cette jeunesse en perte de repère et de modèle au pays, depuis des décennies.

Assortie de seize (16) rencontres époustouflantes, découpées de causeries et d’animations musicales, incitatives à de meilleurs comportements, sous les auspices d’une panoplie d’artistes de marque et de personnalités distinguées dans divers domaines, cette aventure de génie interscolaire de trois mois, planifiée avec élégance et exquisité, laissera des goûts agréables au palais, sur toutes les lèvres et des souvenirs ineffables chez tous les beaux esprits pendant de longues années.

Une première affiche savoureuse, ce jeudi 14 mars, opposant les deux champions des deux premières éditions, augure un lancement délectable de cette troisième édition. D’un côté, le Lycée de Diquini, emmené par le professeur encadreur Mackenley Francillon, promet de préserver sa ceinture et sa posture de champion face à la géante institution quadragénaire de la région des Palmes, le Collège de Christianville. Cette prestigieuse école congréganiste, sous la direction du coach Donat Lindor, mobilise toutes ses ressources et toutes ses structures pour tenter de récidiver son sacre de 2007. Les mêmes attitudes et mentalités de champion animent les six autres écoles qui complètent ce précieux octogone du GENIARC 2019.

De vives couleurs, des débats houleux, des noms de génies de neuvième année, troisième année, Seconde, Rhéto et de la Terminale, nourrissent les discussions dialectiques et intellectuelles pendant les récréations, dans les cafétérias, dans les foyers, au sein des églises et d’autres lieux de rencontres. Des maillots inondés de graffitis et de peintures tinctoriales, des bracelets, des képis, des drapeaux, des bannières d’honneur et de fierté se confectionnent pour supporter et encourager les talents, les beaux esprits, l’intelligentsia et pour savourer les délices d’une ambiance saine entre des gagnants et des champions.

A l’image des émissions télévisées très prisées de l’Amérique du Nord et de l’Europe telles que la Classe de 5e, Pyramide, Questions pour un champion, des chiffres et des Lettres, la compétition GENIARC poursuit également le noble objectif de mettre en valeur les beaux esprits et de propulser la recherche et la culture scientifique. À l’exemple des compétitions américaines et des compétitions internationales « Spelling Bee », « GeoBee », « Math Bee », « Les Olympiades de Mathématiques », etc., la compétition GENIARC s’inscrit dans cette même ligne d’idées de permettre à des élèves, des jeunes et des adultes de découvrir et libérer le génie qui se cache en eux en les incitant à des exercices de lectures et des travaux intenses, énergiques et dynamiques de la matière grise.

Une initiative comparable à celles de l’international, mais souffrant de moyens financiers

Des mobilisations intellectuelles analogues, les mêmes cuisines, munies d’universitaires, de professeurs, de cadres compétents et dynamiques pour effectuer en permanence des recherches dans les livres, dans les encyclopédies, via les moteurs de recherches numériques pour préparer et élaborer des questions de Culture générale, de Mathématiques, de Médecine, de Physique, de Littérature, etc. ; les mêmes émotions positives, des planifications identiques, des présentations calquées les unes sur les autres, des objectifs et des motivations similaires consistant à contribuer à des cerveaux plus compétitifs, de meilleures personnalités pour la construction de l’élite sociale, économique et culturelle. Cependant, un fossé béant, une énorme différence démarque les institutions internationales de la fondation ARC qui conçoivent exactement les mêmes types de projets. Celles-là bénéficient d’une pluie de financements des gouvernements, des compagnies nationales, des institutions œuvrant dans le social, l’éducation, la culture ; par contre la fondation ARC lance, pour l’instant, son projet GENIARC, du même genre que planifient les autres, mais sans aucun support financier, sans aucun sponsor déjà monté à bord.

Nelson Mandela soutenait : « L’éducation est l’arme la plus puissante que l’on puisse utiliser pour changer le monde ». Fort de l’importance de cette motivation universelle qui imprègne les institutions avisées, la fondation ARC reste optimiste et n’alimente son esprit d’aucune hésitation, d’aucune perplexité ni d’aucune incertitude que les beaux esprits, les nobles institutions, les admirateurs des belles œuvres, des projets sociaux sains, viables et enrichissants, sauront prendre le train en marche en y apportant leurs supports financiers, matériels et logistiques pour la pleine réussite de ce projet prometteur et miroitant.

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